CONTACT EXTÉRIEUR : POURQUOI ?

Pour situer l’action du livre dans un contexte propice au lancement des réformes mondiales requises pour engendrer une nouvelle société « propre » et « éthique », il me fallait faire un choix : comment initier l’action ?

 

En fait, j’ai choisis comme fond, comme arrière-plan et comme intrigue, l’approche des cataclysmes généralisés qui allaient complètement changer les équilibres de survie sur cette planète. Mais cela en soi ne suffit pas aujourd’hui, même si l’épée de Damoclès climatique demeure suspendue au dessus de notre tête, pour que les élites, les dirigeants et les chefs de monopoles choisissent d’agir au profit d’une réforme bénéfique au climat, à l’environnement, aux espèces (dont l’humanité) et à la vie sur le long terme.

 

Parmi les autres déclencheurs possibles à cette révolution mondiale, j’ai choisi de faire intervenir des acteurs extérieurs. Même là, j’avais le choix entre plusieurs possibilités : 

- des Extra-Terrestres bienveillants (voir les films Premier contact du 3e type, E.T., Cocoon, Contact) ;

-  des humains plus avancés revenant sur Terre (comme dans le film Stargate, Wall-E ou Star Treck ou la DB Thorgal) ;

-  des intervenants provenant d’un autre plan de conscience ou d’une autre réalité (voir Premier contact ou Starman) ;

-  ou encore des dieux, anges ou autres entités célestes, comme dans nos mythes et religions (voir les films La cité des anges, Rencontre avec Joe Black).

Il y avait aussi l’option des revenants, des humains passés dans l’au-delà et qui reviennent nous aider pour diverses raisons (les films Ghost, Fréquences interdites, Field of Dreams ou Apparitions).

 

Enfin, il y avait aussi l’option d’intervenants non identifiés car pouvant être issus d’une combinaison des catégories précédentes (voir le film Nossolar). J’ai préféré cette option car elle repose à la fois sur la science (plan quantique de réalité alternative) et sur la spiritualité (des entités bienveillantes gérant l’au-delà).

 

Nos mythes d’à travers les âges m’ont également fourni une base essentielle pour la phase « annonciatrice », l’étape initiale d’interventions indiquant ce qui allait suivre. Dans toutes les religions, nous trouvons à la fois des signes célestes (nouvelle étoile, évènements célestes) et des apparitions inexplicables (entités, saints, anges, prophètes). J’ai donc retenu cette approche pour initier l’action du livre.

 


Plus proche de nous, dans l’ère du Nouvel âge, les prémonitions de voyants ou le décryptage d’anciens calendriers, nous annonçaient le début d’un nouveau cycle de conscience pour le siècle à venir. Les cycles du calendrier solaire se prêtaient bien comme calendrier à l’action préconisée pour cette histoire : les équinoxes et les solstices.

 

Enfin, l’action ne devait pas s’étendre sur une période trop longue. La restreindre à une année s’avérait pour moi un défi et une réalisation. Cela est-il possible actuellement ? Pourquoi pas ! Toutes les technologies sont déjà là, inventées, prêtes à la commercialisation à grande échelle si l’élite le décide. Mais elle ne le fera pas, hormis une contrainte plus puissante qu’elle.

Je demeure sceptique qu’une réforme politique soit suffisante pour déclencher un tel processus de renouveau. Je demeure aussi sceptique que l’aggravation climatique à elle seule suffise pour passer de la cogitation déresponsabilisée à l’action salvatrice. Quoique : advenant un cataclysme suffisamment important, tel un tremblement de terre détruisant toutes les centrales nucléaires d’un continent, peut-être que certaines autorités réagiraient et auraient assez d’ascendant sur nos élites pour les forcer à se réveiller ? Bien qu’il ne s’agisse pas de réveil en soi, puisque tous connaissent bien les enjeux (pouvoir, contrôle, monopoles, profits), mais de changement radical de priorité.

 

Nous vivons dans une période dépourvue des valeurs morales, éthiques et humaines au niveau décisionnel de nos instances supérieures. Ce sont des entités immorales et insensibles qui décident des orientations : des sociétés commerciales et leurs lobbies. Elles sont dépourvues d’émotions et de conscience. Seul compte l’enrichissement d’actionnaires fantômes.

 

C’est pour ces raisons que la réforme, quelle qu’elle soit, ne viendra pas sans la disparition du système politique actuel, soit disant démocratique mais qui ne sert que les intérêts des élites, et du système financier et banquier qui est leur outil de contrôle principal. L’argent est Dieu dans ce monde actuel. Et c’est ce dieu qu’il faut tuer en premier. L’argent est le moteur, l’essence, le produit et le déchet de tout le système actuel. On le supprime et le changement commence.

 

Donc j’avais le choix entre un cataclysme naturel ou économique pour lancer l’action : j’ai retenu un peu des deux. J’ai tout de même choisi de maintenir en place les élites et leurs systèmes de contrôle afin d’accélérer les réformes. C’est une approche qui me paraît réaliste, dans un premier temps. Pas idéale, mais réaliste. Leurs réseaux sont omniprésents dans tout et partout et c’est la façon la plus rapide d’implanter une nouvelle politique, au moins pour commencer. Une fois le changement lancé, la structure peut être reprise à des fins plus nobles et les élites écartées.

 

Maintenant que j’ai situé un peu le contexte, il me faudra expliquer plus en détails qui sont « les messagers ».

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